"Un frisson de peur a parcouru ma colonne vertébrale pendant que je scrutais la foule à la recherche de mon collègue", écrit Anuj Chopra en se remémorant les moments marquants de ses deux années passées comme chef du bureau de Kaboul.
"Quelques minutes après avoir perdu Rateb de vue, il a réapparu, avec les images que nous cherchions. J’étais soulagé. Nous nous sommes rapidement éclipsés".