"En rentrant par avion à Istanbul il y a quelques semaines, je suis resté cloué sur mon siège par la beauté de la ville, comme si j’arrivais pour la première fois dans cet endroit où j’ai pourtant habité longtemps", écrit Stuart Williams.
"L’émotion a été d’autant plus forte que c’était l’un de mes dernières incursions dans cette ville comme correspondant de l’AFP, après quatre années et demie magnifiques, stimulantes et parfois troublantes".