"Un festival durant lequel de parfaits inconnus se lancent des poudres et de l’eau colorées, ça a des allures de retour en enfance, qui a tout pour plaire", écrit Agnès Bun, correspondante vidéo pour l'Asie du sud.
"Pourtant, quand on est une journaliste chargée de couvrir le festival de Holi en Inde, on déchante très vite".
"Cela fait deux ans que je suis installée à New Delhi pour l’Agence France-Presse, et le fait est que je n’arrive toujours pas à déterminer si j’adore ou déteste Holi".