"Comment photographier un évènement au sujet duquel on ne sait rien, ou pas grand-chose?", se demande Behrouz Mehri, basé à Tokyo.
"L’avantage du Hadaka matsuri, le festival de l’homme nu, c’est qu’il suffit de se laisser emporter par la ferveur du moment. Un rituel mystérieux, à la violence plus ou moins maîtrisée".