« Le "méchant" de cette histoire est loin d’être un sujet idéal pour les photographes », écrit le photographe de l'AFP basé à Séoul Ed Jones. « Le coronavirus Mers, qui sévit depuis fin mai en Corée du Sud, est invisible à l’œil nu. Les images prises au microscope par les scientifiques sont fascinantes, mais elles ne sont pas très utiles pour illustrer les craintes des Sud-Coréens face à ce syndrome respiratoire sans vaccin ni traitement qui a déjà fait une trentaine de morts dans leur pays.»
« L’aspect le plus visuel du Mers, c’est évidemment le masque respiratoire que les gens se mettent sur la bouche et sur le nez en espérant que cela les protégera. Mes tentatives pour photographier la vie quotidienne à Séoul sous la menace du Mers se déroulent donc principalement dans la rue.»