"Chaque couverture d’un désastre de ce genre me mine un peu plus", écrit le photographe Jewel Samad après son travail sur les suites du séisme et du tsunami en Indonésie qui ont fait plus de 2.000 morts et des milliers de disparus.
"Elle attaque une partie sensible de mon être, celle qui ressent, celle qui éprouve, la partie humaine j’imagine. Elle en détruit à chaque fois un petit morceau. Et je sens bien que cette partie de moi n’est plus aussi solide qu’avant, à mes débuts de photojournaliste."