"Chaque après-midi, aux alentours de 15h40, Anastasia s’assoit au piano planté sous le lustre monumental d’un hôtel du Qatar et se met à jouer", écrit David Harding, journaliste basé à Doha.
"Jusque-là, rien d'extraordinaire".
Si ce n'est qu'à deux pas se tiennent des pourparlers de paix entre talibans et Américains.