«A 02H00 du matin, une alerte info sur Lesbos m’a réveillé: Feu à Moria, m’informait la notification sur téléphone portable. J’ai d’abord cru que ce n’était rien (...) et puis, je me suis quand même levé, envahi par un mauvais pressentiment », témoigne Angelos Tzortzinis, photographe pigiste de l'AFP à Athènes qui a assisté à la destruction de Moria, plus grand camp de réfugiés d'Europe, en seulement quelque heures .