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La mémoire intacte de Fukushima et du Tohoku

Samedi 13 mars 2021

En quelques heures, le 11 mars 2011, le Japon a vécu l'un des séismes les plus forts jamais enregistrés, puis un tsunami et enfin, à Fukushima, le pire accident nucléaire depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986. La journaliste Sara Hussein a recueilli les témoignages de quatre de nos reporters au bureau à Tokyo, Shingo Ito, Hiroshi Hiyama, Kazuhiro Nogi et Harumi Ozawa, témoins de ces événements. 

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AFP / Kazuhiro Nogi

S'habituer au Japon

Jeudi 9 mai 2019

"A chaque fois que je me trouve dans un nouveau pays, il arrive un moment où je dis ou fais quelque chose qui m’aurait paru complètement étrange avant", écrit Sara Hussein, journaliste basée au Japon, après huit années au Moyen-Orient.    

"A Tokyo, ce moment est arrivé il y a quelques mois, un an après ma prise de fonction: je me suis vraiment demandée si je devais m’acheter un masque chirurgical". 

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AFP / Joseph Eid

Hezbollah tour

Mardi 25 avril 2017

"Le convoi de journalistes a repéré les combattants du Hezbollah au détour d’un verger du village de Naqoura, dans le sud", écrit Sara Hussein, correspondante au bureau de Beyrouth.

"A vrai dire, ils avaient peu de chance de passer inaperçus. Bien qu’équipés de tenues militaires camouflées et de traits de peinture verte et noire sur le visage pour dissimuler leurs traits, ils avaient tout l’air de se trouver là pour être vus".

"Cela a été l’un des points forts d’un voyage de presse, aussi rare que parfaitement orchestré, du puissant mouvement chiite libanais".

Une précédente visite guidée, il y a bientôt deux ans, ne permettait de voir aucun visage ou armement de ses combattants. 

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AFP / Joseph Eid

Visite guidée avec le Hezbollah

Jeudi 28 mai 2015

Depuis quelques semaines, le Hezbollah a entamé une offensive de charme. Habituellement peu coopératif avec les médias, le puissant mouvement chiite libanais emmène le 20 mai plusieurs groupes de journalistes visiter ses positions dans le Qalamoun, une région montagneuse à cheval sur la frontière libano-syrienne, où il combat le groupe Etat islamique et le Front Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda. Le but est de soigner son image d'allié-clé du régime de Bachar al-Assad en Syrie.

Une visite guidée d'un genre bien particulier à laquelle a participé Sara Hussein, correspondante de l'AFP à Beyrouth.

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