"C’est devenu insupportable à la fin décembre. J’ai traversé bon nombre d’hivers russes dans mon existence, mais là j’ai touché le fond", écrit Mladen Antonov, photographe envoyé spécial à Moscou.
"Il n’y avait plus de soleil. Un ciel gris peut plomber la capitale en hiver, mais il y a au moins une journée ensoleillée par semaine ou deux. Et là, j’ai compté : six minutes en un mois. Six minutes..."