"L’histoire ne fait que commencer. Et on compte dix morts", écrit Eric Cabanis, responsable photo régional basé à Toulouse.
"J’ai été prévenu au saut du lit, littéralement, que de graves inondations avaient frappé l'Aude. Je me suis aspergé le visage d’eau, ai avalé un café en regardant le site de l’Indépendant, et puis j’ai filé".
Le lendemain le bilan était d'au moins onze morts.