"L’Inde polarise. Elle provoque des réactions viscérales. Vous l’adorez, ou vous la détestez. Elle n’offre pas le luxe de la demi-mesure. Depuis que j’ai pour la première fois foulé son sol, en 2009, je fais partie des mordus", écrit Alexandre Marchand dans ce billet d'au revoir à l'Inde, où il vient de passer quatre ans comme correspondant de l'AFP à New Delhi.