“On pensait avoir à peu près couvert tout en termes d’atrocités. Des usines à bébés, où les femmes sont enfermées pour procréer, des enfants kamikazes, des massacres à grande échelle... Mais depuis trois mois, l’horreur a encore gravi un échelon: une grande partie de notre quotidien consiste désormais à couvrir des kidnappings de masse d’enfants…”, écrit Sophie Bouillon, la directrice adjointe du bureau de l'AFP au Nigeria.