"Il est +Celui dont on a ri après avoir trop pleuré+", comme le dira son avocat", écrit Sarah Brethes. "Soupçonné d'avoir fourni une planque à plusieurs jihadistes après les attentats parisiens du 13 novembre 2015, Jawad Bendaoud est devenu la risée des réseaux sociaux et le défouloir d'un pays en deuil".
"Au matin du 18 novembre, lors de l'assaut mené à Saint-Denis contre +son+ appartement, je l'avais interviewé avant qu'il n'explique naïvement à une TV en continu avoir voulu +rendre service+".
"Couvrant notamment l'actualité judiciaire au tribunal de Bobigny, j'ai ensuite recroisé à deux reprises le chemin de l'ingérable "Jawad", au cours des deux années où il a été incarcéré à l’isolement".