« D’une certaine façon, je me sens comme un journaliste sportif », écrit Prashant Rao, correspondant de l'AFP à Bagdad qui doit quitter son poste dans les prochaines semaines. « Après avoir couvert l’Irak pendant plus de cinq ans, j’étais en train de faire mes adieux mentalement, émotionnellement et socialement à ce pays si étrange, si attachant, si fascinant car dans quelques semaines, je partirai d’ici. C’était comme si le match en était à la 85ème minute, le destin scellé et mon article presque rédigé.»
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