"La jeune femme s'effondre. Difficile de dire si elle s'est évanouie à cause des quatre coups de bâton de rotin ou du traumatisme d'être punie en public, devant une immense foule," écrit Nurdin Hasan, correspondant de l'AFP à Aceh, la seule province d'Indonésie autorisée à appliquer la charia et où les coups de canne sont un châtiment de plus en plus pratiqué pour réprimer les "actes immoraux".