"Ca a commencé avec un homme qui sanglote, un deuxième qui se met à pleurer, et puis un autre encore", écrit Nick Perry, journaliste basé à New Delhi.
"Très vite, toute la colline s’est animée dans une plainte unique et émouvante, avec des centaines de Rohingyas réfugiés, en prière, les paumes tournées vers le ciel de mousson, pleurant leurs morts et faisant le deuil d’une patrie qu’ils pourraient ne jamais revoir".