"Parfois, quand on photographie la guerre, on tombe sur une scène qui vous extrait du monde des hommes, une chose qui vous transporte dans une autre dimension, inhumaine. C’est ce qui m’est arrivé avec le massacre intervenu lors d’une cérémonie funéraire", écrit Mohammed Huwais, photographe au Yemen.
"C’était une vision de l’enfer, comme je n’en avais jamais vue, même dans un film d’horreur. Un enfer largement passé sous silence au-delà des frontières de mon pays".
"Un pays dont le coeur bat toujours".