« Lech Walesa avait travaillé pour la police secrète communiste, la crainte et détestée SB ! En ce mois de février en Pologne, la nouvelle court en bas des écrans, tache les premières pages, hurle dans les radios », écrit le correspondant de l'AFP à Varsovie Michel Viatteau. « Plusieurs documents, trouvés chez la veuve de l’ancien ministre de l’Intérieur communiste Czeslaw Kiszczak le prouvent, il y a même des reçus signés par « Bolek », son nom de code, à côté de son nom de famille. Et, disent différents représentants du pouvoir, cela démontre que pendant 27 ans et jusqu'à tout récemment, la Pologne était manipulée par les héritiers du régime communiste et leurs sbires, qui tiraient les ficelles dans l'ombre grâce à des documents compromettants pour des hauts responsables actuels.»
« J’ai beau faire du journalisme depuis quarante ans, avoir vu mon lot de guerres et de coups tordus, j’ai le cœur lourd...»