« On ne sait pas trop qui a découvert cette butte en premier mais pour la presse argentine, elle est une mine d’or, un don du ciel, la bénédiction, le salut », écrit Mariano Andrade, envoyé spécial à Belo Horizonte pour la Coupe du Monde 2014. « Car en Argentine, tout le monde veut connaître les moindres faits et gestes de l’équipe "albiceleste", alors que la majorité de ses entraînements se déroulent à huis-clos. Pour nourrir tant bien que mal l’inépuisable soif d’informations dans leur pays, les photographes et reporters argentins s’installent donc sur la butte dès les petites heures du matin pour espionner leur sélection nationale, qui s'entraîne à 500 mètres en contrebas.. »