La guerre «c'est l'odeur de la mort qui ne disparaît pas, même après dix douches, il faudrait pouvoir s'en défaire, comme on range son gilet pare-balles et son téléphone satellitaire», raconte une reporter habituée aux conflits. Voir de ses propres yeux, photographier les atrocités des guerres ne laisse pas indemne. Professionnels et médecins s’accordent à le dire: nombre de reporters souffrent à des degrés divers de symptômes traumatiques. Des maux qu'il faut traiter sans tabou.