"Les larmes sont arrivées sans prévenir, alors que je les regardais former avec leurs bras une barrière protectrice autour de leurs voisins musulmans, en veillée de prière dans un parc, à quelques pas de l’endroit où avait eu lieu le massacre", écrit Jerome Taylor, chef du bureau de Hong Kong, qui a couvert avec une équipe de l'AFP les suites de l'attaque contre deux mosquées de Christchurch.