"Nous avons de la chance, malgré tout", écrit au sujet de sa Tunisie la journaliste de l'AFP Inès Bel Aïba.
Au moment de partir en poste à Washington, elle regarde le chemin parcouru par ce pays pionnier du "printemps arabe" depuis le renversement de la dictature en 2011.
Un regard instruit par sa participation à la couverture des révoltes populaires qui ont secoué l'Egypte et bouleversé la Lybie.