"Couvrir la situation en Libye est un véritable casse-tête", raconte Imed Lamloum, chef du bureau de l'AFP à Tripoli.
"D’abord parce que deux gouvernements, voire trois, se disputent la légitimité du pouvoir, que des dizaines de milices font de même sur le terrain, et que tous communiquent via les réseaux sociaux, et particulièrement Facebook".
"Sans que l'on puisse jamais être certain que leurs déclarations reflètent une quelconque réalité. Alors quand on pense que c’est la principale source d’information de la population…".