Strasbourg -- Ce qui m'a le plus frappé, c'est le silence. Je n'ai pas entendu les coups de feu, pas vu les mouvements de foule.
Étudiant en journalisme et simple téléspectateur à l’époque des attaques à Charlie Hebdo et au Bataclan, j'associais un attentat à des scènes de chaos.