"Vers quatre heures de l’après-midi, je reçois un coup de téléphone d’un collègue qui me prévient qu’on peut voir « de superbes panaches de feu » du côté de Les Pennes-Mirabeau, au nord de Marseille. Les feux de garrigue sont fréquents en été dans cette région. Je me dis que cela peut faire de bonnes images, sans me douter de la gravité de la situation. Je pars sur place en compagnie de la reporter texte Julie Pacorel en pensant en avoir pour deux ou trois heures maximum."
"Près de vingt-quatre heures plus tard, je suis encore sur place."