« La plupart des journalistes adorent les "grosses" affaires, surtout celles qui leur permettent d’être, en quelque sorte, les témoins de la marche de l’histoire», écrit Andrew Beatty, correspondant de l'AFP en Afrique du Sud. «Mais je ne connais personne, vraiment personne, qui aime couvrir l’hospitalisation de Nelson Mandela».