"C’est un des véritables casse-tête pour un photographe d’agence de presse couvrant la Formule 1, le juste équilibre entre +prendre+ et +faire+ une photo", écrit Andrej Isakovic, photographe basé à Belgrade.
"Notre production doit coller à l’instant de l'actualité, à sa vérité, mais une partie intéressante du travail est aussi d'essayer de faire preuve de créativité".