“Quand je suis arrivé en Irak en 2017, je me disais bien qu'il y avait forcément quelque chose de magique”, écrit Ali Choukeir, ancien correspondant à Bagdad. Quatre ans, des révoltes, quelques attentats et bien des drames plus tard, voici son au revoir à un pays auquel il s'est attaché pour toujours.