Sept mois plus tard. Mme Obokata est forcée de travailler sous la surveillance permanente de caméras et d’observateurs indépendants pour prévenir toute tricherie dans ses recherches. Elle a été mise au supplice pendant trois heures devant une horde de reporters vindicatifs et déchaînés. Elle a dû se prosterner devant eux et, en larmes, se confondre en excuses. Ses articles de recherche ont été retirés. Et son directeur de recherches s’est suicidé.
Voici la saga des « cellules Stap ». Un conte de fées qui vire au mauvais polar...