"Etre photographe d’agence c’est pouvoir couvrir des violences en banlieue un jour, et tirer le portrait d’un footballeur brésilien en moins de 3 minutes le lendemain", écrit Geoffroy Van der Hasselt, basé à Paris. "
"Récemment, c’est plutôt le premier sujet, celui des violences, qui a occupé mes soirées. Comme c’est un environnement particulier, j’y adapte ma façon de travailler".