"En terre étrangère, un journaliste ne peut être bon que si son interprète l’est aussi", écrit Anuj Chopra, qui a effectué un reportage de deux semaines en Syrie en avril 2013. "L’interprète est vos yeux et vos oreilles. Il est votre guide dans un monde inconnu, la lumière qui vous aide à comprendre les situations les plus complexes".
Dans la ville d'Alep dévastée par la guerre civile, portrait de Karim, un de ces anges gardiens improvisés mais indispensables dont la bonne humeur contagieuse masque une profonde tristesse.