"Je crois que la guerre en Syrie ne se terminera jamais", raconte le photographe indépendant Ameer Alhalbi. "Voilà trois ans que je photographie le conflit à Alep, ma ville. Mon but, c’est de montrer au monde extérieur toutes les souffrances qu’endurent les Syriens. Et ce jeudi 28 avril est une des journées les plus infernales que nous ayons connues ici."