«J’ai travaillé dix ans au Moyen-Orient, en Afghanistan et au Pakistan. Dix ans au bout desquels j’ai fini par être fatiguée de la violence permanente, de l’absence de progrès, des haines religieuses intextinguibles, des attentats-suicides, de la corruption », écrit Jennie Mattew. « Je m’étais mise à rêver de New York, de cinémas, de passerelles de mode, de sagas judiciaires…»
Adjointe au directeur du bureau de l'AFP à Islamabad, la journaliste demande et obtient sa mutation dans la Grosse Pomme. Mais gare au choc culturel...